ARTEMISIA,
au Palais Lascaris,
proposition d'exposition dans le cadre de la Biennale des fleurs 2022
au Palais Lascaris,
proposition d'exposition dans le cadre de la Biennale des fleurs 2022
L’exposition intitulée Artemisia met en scène une sélection d’œuvres d’Eve Pietruschi et nous entraine dans une déambulation sensorielle. L’Artemisia est une plante appelée traditionnellement armoise et fait partie de la famille des artémises présente au bord des chemins, souvent retrouvée dans les cueillettes, cœur du travail d’Eve Pietruschi. Elle évoque aussi la déesse grecque Artémis, déesse de la nature, de la vie sauvage, de la forêt et des femmes. En lien direct avec l’histoire du palais et sa date de création, le nom rappelle Artemisia Gentileschi, peintre italienne baroque du XVIIe siècle.
Dans le cadre de la Biennale Fleurs !, le Palais Lascaris invite l’artiste niçoise Eve Pietruschi. Diplômée de l’Ecole Supérieure Nationale d’Art Villa Arson en 2007, l’artiste s’est orientée vers le paysage, la question de la trace et de la mémoire. Au Palais Lascaris, Eve Pietruschi a pris le temps de s’imprégner du lieu et de ses collections qu’elle investit avec ses travaux en partie pensés et réalisés pour l’occasion. La marche, la cueillette, le temps de la restitution et de l’assemblage, ramènent à des pratiques simples et ancestrales. Comme elle arpente la nature régulièrement, nature inspirante, elle arpente ici le Palais Lascaris et y sème ses créations poétiques et ses cueillettes locales, sous forme de dessins, sculptures, installations - « voyages immobiles », poteries crues et cuites, herbiers, photographies.
Les fleurs séchées, les empreintes de fleurs, les offrandes et autres créations issues de la nature et d’un travail patient viennent en écho aux éléments décoratifs baroques et aux éléments floraux du palais. Elles créent des espaces de poésie et de replis, conduisent à un éveil des sens.
« Re-découvrir le palais, se plonger dans l’histoire, les collections. S’imprégner des murs, de l’atmosphère, de la lumière ténue, relever les motifs floraux présents sur le lieu », là est l’ambition d’Eve Pietruschi.
Au rez-de-chaussée où se trouvait une apothicairerie du XVIIIe siècle (aujourd’hui exposée à la Maison Victor Hugo à Besançon, son lieu d’origine), Eve Pietruschi s’est inspirée de l’officine et du lien médicinal aux plantes. Elle a travaillé sur cette mémoire et ce savoir-faire. Un jardin silencieux spécialement créé pour l’occasion investit la cour du vestibule. L’artiste a une connaissance très fine des plantes, de leurs noms, de leurs usages.
Eve Pietruschi vient aussi consteller l’étage noble et les salons du musée de ses œuvres délicates et de ses cueillettes, posées comme une ponctuation invitant à la contemplation, à la rêverie et à la célébration de la nature.
Dans le cadre de la Biennale Fleurs !, le Palais Lascaris invite l’artiste niçoise Eve Pietruschi. Diplômée de l’Ecole Supérieure Nationale d’Art Villa Arson en 2007, l’artiste s’est orientée vers le paysage, la question de la trace et de la mémoire. Au Palais Lascaris, Eve Pietruschi a pris le temps de s’imprégner du lieu et de ses collections qu’elle investit avec ses travaux en partie pensés et réalisés pour l’occasion. La marche, la cueillette, le temps de la restitution et de l’assemblage, ramènent à des pratiques simples et ancestrales. Comme elle arpente la nature régulièrement, nature inspirante, elle arpente ici le Palais Lascaris et y sème ses créations poétiques et ses cueillettes locales, sous forme de dessins, sculptures, installations - « voyages immobiles », poteries crues et cuites, herbiers, photographies.
Les fleurs séchées, les empreintes de fleurs, les offrandes et autres créations issues de la nature et d’un travail patient viennent en écho aux éléments décoratifs baroques et aux éléments floraux du palais. Elles créent des espaces de poésie et de replis, conduisent à un éveil des sens.
« Re-découvrir le palais, se plonger dans l’histoire, les collections. S’imprégner des murs, de l’atmosphère, de la lumière ténue, relever les motifs floraux présents sur le lieu », là est l’ambition d’Eve Pietruschi.
Au rez-de-chaussée où se trouvait une apothicairerie du XVIIIe siècle (aujourd’hui exposée à la Maison Victor Hugo à Besançon, son lieu d’origine), Eve Pietruschi s’est inspirée de l’officine et du lien médicinal aux plantes. Elle a travaillé sur cette mémoire et ce savoir-faire. Un jardin silencieux spécialement créé pour l’occasion investit la cour du vestibule. L’artiste a une connaissance très fine des plantes, de leurs noms, de leurs usages.
Eve Pietruschi vient aussi consteller l’étage noble et les salons du musée de ses œuvres délicates et de ses cueillettes, posées comme une ponctuation invitant à la contemplation, à la rêverie et à la célébration de la nature.
en étage noble du palais, investir un lieu d'histoire du 17 ème siècle, c'est passer du temps, ressentir l'espace, les mémoires, observer, sentir.